Tête haute et large sourire, Adèle Koue Sungbeu marche fièrement sur le chemin qui la mène sur son lieu de travail, près d’Abidjan. A 45 ans, elle est redevenue une femme à part entière: excisée à l’adolescence, elle vient d’être réparée.
Adèle Koue Sungbeu est l’une des 28 femmes ivoiriennes ayant subi une mutilation génitale féminine (MGF) qui ont été réparées en avril dans un hôpital public, à Treichville (sud d’Abidjan), lors d’une mission du Fonds Muskoka, créé en 2010 à l’initiative du gouvernement français à l’issue d’un sommet du G8.[Lire l'article en intégralité]
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