Après un viol, de nombreuses victimes sont trop fragilisées pour porter plainte. Un dispositif utilisé à Paris permet de recueillir à l’hôpital des preuves de l’agression et de les conserver pour étayer leur dossier si elles saisissent la justice plus tard.
« Juste après l’agression, l’état de stress aigu de la victime fait que c’est souvent compliqué pour elle de déposer plainte, alors que c’est au contraire le moment où il faudrait faire vite pour recueillir des preuves », explique la psychiatre Sarah Dauchy, responsable médicale de la Maison des femmes de l’Hôtel-Dieu à Paris.[Lire l'article en intégralité]
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