Loin d’avoir disparu du marché locatif, les logements très énergivores sont petit à petit rénovés, après l’interdiction de les louer depuis le 1er janvier, même si quelques situations de blocage ou de contournement persistent.
Selon ses détracteurs, la loi Climat et résilience, qui bloque la location des logements classés G au diagnostic de performance énergétique (DPE), devait provoquer le retrait de 567.000 logements du marché locatif et ainsi accentuer la crise du logement, en plus de placer les propriétaires dans une situation financière ubuesque.
« L’impact va être étalé », concède Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim), qui calcule qu’en moyenne, 15.750 baux arrivent à échéance par mois et assure qu' »aucune relocation ne peut se faire pour un logement classé G, sans travaux de rénovation énergétique ».[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/