La justice a jugé irrecevable jeudi la demande des parents de Théo Grataloup, 18 ans, de lier ses malformations congénitales à l’exposition de sa mère, enceinte, au glyphosate, un herbicide produit phare du géant allemand de la chimie Bayer-Monsanto.
« C’est bien sûr une déception », a réagi dans un communiqué la famille Grataloup, qui avait lancé en 2018 une action au civil contre Bayer, pour faire reconnaître le « lien de causalité » entre le glyphosate et le handicap de Théo.
Mais le jeune homme a retenu aussi « tout le travail de lanceur d’alerte qu’il y a eu à travers les médias, tout au long des différentes étapes du procès », a-t-il confié jeudi à l’AFP.[Lire l'article en intégralité]
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