Sensibilisation des plus jeunes, « fiches réflexes » pour les professionnels de terrain, mise en place de référents : les victimes de soumission chimique attendent des « mesures concrètes » pour lutter contre ce fléau et permettre leur reconstruction.
« Il faut une prise en charge globale », estime Sylvie, 44 ans. Il y a dix ans, cette femme a été victime d’un haut fonctionnaire du ministère de la Culture qui lui a fait faire boire des diurétiques pendant un entretien d’embauche, la poussant à uriner devant lui.[Lire l'article en intégralité]
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