Attablées dans un restaurant d’anguilles près de Tokyo, quatre amies s’apprêtent à déguster ce plat particulièrement prisé des Japonais, un poisson menacé dont la conservation doit faire l’objet d’un débat international à partir de lundi.
« C’est un mets de luxe, qu’on mange pour se faire plaisir ou célébrer une occasion », explique Yukiko Takahashi, une commerciale de 52 ans.
Jusqu’à 85% de la consommation mondiale d’anguille se fait en Asie de l’Est, et notamment au Japon, qui pour répondre à la demande importe massivement: 73% des 61.000 tonnes consommées dans le pays en 2024 venaient de l’étranger.[Lire l'article en intégralité]
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