Le vent souffle à faire vibrer le toit en plastique de ce poste d’observation où deux contrôleuses balayent l’horizon aux jumelles, au coeur du parc éolien d’Excelsior, à 200 kilomètres à l’est du Cap.
Emmitouflées dans leurs écharpes et bonnets, elles scrutent, depuis ce cabanon au sommet d’une colline, les champs de l’Overberg qui ondulent au gré des bourrasques, jusqu’à ce qu’une petite silhouette sombre se dessine dans le ciel.
« Arrêtez l’éolienne 11, s’il vous plaît.[Lire l'article en intégralité]
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