« Mérien » plutôt que terrien, Jacques Rougerie imagine depuis des décennies des habitats flottants, des cités sous-marines, et des architectures bioinspirées capables de composer avec la montée des eaux. A l’occasion de l’UNOC, l’architecte visionnaire revient sur l’acceptation de ses projets futuristes, donne des nouvelles du vaisseau SeaOrbiter et esquisse la cité marine du futur, une architecture conçue pour coexister avec le vivant à l’heure de l’urgence écologique. Entretien exclusif pour Sciences et Avenir.[Lire l'article en intégralité]
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