Le secrétaire général des Nations unies, six chefs d’Etats et une centaine de ministres arrivent mardi à Cali, en Colombie, point d’orgue des négociations de la COP16 biodiversité, pour stopper la destruction du vivant, un objectif indispensable à la prospérité de l’humanité.
A Cali, épicentre de la salsa colombienne, les délégués de 196 pays tentent depuis le 21 octobre d’accorder leurs postures sur la manière de se contraindre à tenir d’ici 2030 les objectifs fixé il y a deux ans dans l’accord de Kunming-Montréal: placer 30% de la planète sous protection minimale, réduire de moitié les risques des pesticides et l’introduction des espèces invasives, mobiliser 200 milliards de dollars par an pour sauvegarder la nature, etc.
Mais à trois jours du terme de cette 16e conférence des Nations unies sur la biodiversité, censée se conclure le 1er novembre, le ballet des négociateurs s’est encore englué dans les rivalités entre pays riches et en développement.[Lire l'article en intégralité]
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