Alors que des millions de tonnes de plastique se déversent chaque année dans nos océans, la quantité ingérée pouvant être fatale aux animaux ou oiseaux marins serait « bien plus faible » qu’imaginé, alerte lundi une étude.
L’équivalent en plastique de presque trois morceaux de sucre pourrait ainsi être fatal à un macareux moine, aussi appelé perroquet de mer, oiseau emblématique de l’Atlantique nord, pointe-t-elle.
Publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, cette étude s’appuie sur l’analyse de nécropsies de quelque 10.000 animaux échoués ou ayant été capturés accidentellement pour déterminer l’impact de différents types de plastique et leur possible seuil létal.[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/
