Juché sur son vélo profilé, Michael Hansen ne peut retenir ses larmes: ce touriste danois découvre les ravages laissés, il y a un an, par une immense coulée de pierres sur le hameau de La Bérarde, l’ancienne « Mecque des alpinistes ».
« Ce n’est pas la guerre mais ça y ressemble », lâche le cycliste dans un anglais heurté, désignant le paysage chamboulé, méconnaissable par rapport à celui qu’il fréquentait chaque été depuis 30 ans.
Visible au-delà de la rivière, l’ancien village de carte postale à 1.700 m d’altitude, bijou du massif des Ecrins, est toujours à moitié enseveli et interdit d’accès.[Lire l'article en intégralité]
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