« On aurait dit que c’était la fin du monde »: comme cette habitante de Saint-Denis, les Réunionnais restaient dimanche sous le choc, deux jours après le passage sur l’île du cyclone Garance, qui a tué quatre personnes.
L’heure était dimanche au début des travaux de nettoyage et de déblaiement après le passage du cyclone et de ses vents à plus de 200 km/h.
« Même si nous étions préparés, le cyclone a été très puissant », a souligné le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, dans Le Figaro dimanche.[Lire l'article en intégralité]
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