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Depuis 2016, cette technique n’est censée être utilisée qu’en « dernier recours » et ne peut concerner que des patients en hospitalisation complète sans consentement. Mais une écrasante majorité des 220 établissements qui assurent des soins psychiatriques sans consentement continue de la pratiquer.[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/