La secrétaire nationale des Ecologistes Marine Tondelier a expliqué lundi la diminution de la place de l’écologie dans le débat politique par, notamment, « le syndrome de l’autruche » qui fait que notre cerveau a du mal à envisager les conséquences du changement climatique.
« Les neuroscientifiques ont démontré que le cerveau humain n’était pas apte à encaisser ce risque parce qu’il est trop énorme, trop immédiat, qu’on a l’impression de ne pas avoir prise puisque même si on arrête de conduire, de consommer, même de respirer, la planète sera toujours en danger », a justifié Mme Tondelier sur France inter.
« Donc il y a un truc qui plonge certains dans l’éco-anxiété, d’autres dans le déni, dans la culpabilité, tout ça est extrêmement compliqué mais enfin ce n’est pas parce que c’est compliqué qu’il ne faut pas s’en occuper », a-t-elle jugé.[Lire l'article en intégralité]
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