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Le niveau d’eau des barrages de Téhéran et sa périphérie est inférieur de moitié à celui de l’an dernier en raison d’une sécheresse historique, selon les médias d’Etat, au moment où les autorités iraniennes alertent sur le risque de pénurie.
L’Iran est confronté cette année à sa pire sécheresse depuis six décennies et à Téhéran, la capitale, le faible niveau des précipitations est « quasiment sans précédent depuis un siècle », avait affirmé en octobre un responsable local.
Téhéran a connu tardivement lundi ses premières pluies d’automne mais elles restent largement insuffisantes.[Lire l'article en intégralité]
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