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Touchée par la fléchette sédative, l’ourse polaire se couche doucement sur le flanc: quelques minutes plus tard, le vétérinaire s’approche, pose un collier GPS, prélève du sang, incise la chair. Tout doit s’enchainer rapidement.
La mission est périlleuse : il fait en moyenne -20°C dans l’Arctique norvégien et l’ours polaire est un prédateur dangereux pour l’homme, il ne faut pas qu’il se réveille.[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/