Ce n’est qu’après trois nuits blanches et d’infinies tractations que le président de la 29e conférence sur le climat de l’ONU a pu, d’un coup de maillet, faire adopter un grand accord sur la finance climatique au milieu de la nuit azerbaïdjanaise.
Mais trop vite pour certains.
Dans le stade olympique de Bakou, qui n’a jamais accueilli de JO, les heures butoirs n’ont cessé d’être dépassées, dans la confusion de négociations coordonnées par l’Azerbaïdjan.[Lire l'article en intégralité]
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