Les chercheurs restent divisés sur les preuves scientifiques justifiant une interdiction des réseaux sociaux pour les moins de 16 ans prévue par l’Australie, mais certains y voient une fenêtre d’observation inédite pour mieux comprendre leur effet sur les cerveaux des plus jeunes.
Les partisans de l’interdiction qui doit entrer en vigueur le 10 décembre mettent en avant le grand nombre d’études suggérant que les jeunes passent trop de temps en ligne, au risque de mettre en péril leur santé mentale.
Les cerveaux des adolescents sont encore en développement jusqu’à leur vingtaine, souligne la psychologue Amy Orben, qui dirige un programme sur la santé mentale à l’Université de Cambridge.[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/
