Inquiètes d’un potentiel abandon du projet de ligne à grande vitesse entre Bordeaux, Toulouse et Dax sur fond de rigueur budgétaire, plusieurs collectivités du Sud Ouest ont appelé l’État jeudi à tenir « ses engagements financiers ».
Cette nouvelle infrastructure, évaluée à 14,3 milliards d’euros en 2020, doit être financée à 40% par l’État, 40% par des collectivités locales d’Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine et à 20% par l’Union européenne.
Ce plan de financement a été validé la semaine dernière par la justice administrative après le recours d’opposants.[Lire l'article en intégralité]
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