L’Etat a commis une « faute » dans le dossier du Levothyrox, n’informant pas suffisamment les patients sur les effets secondaires liés à la nouvelle formule de ce traitement, mais cela ne justifie pas une indemnisation, a décidé vendredi la justice administrative.
L’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a « commis une faute de nature à engager la responsabilité de l’Etat » dans ce dossier remontant à la fin des années 2010, estime un arrêt de la cour administrative d’appel de Paris.
Mais les plaignants ne sont pas « fondés à se prévaloir d’un préjudice d’anxiété » qui, selon eux, justifiait une indemnisation par l’Etat.[Lire l'article en intégralité]
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