Trois ans après l’invasion russe, Olga Cheïko souffre toujours d’anxiété, comme de nombreuses autres femmes ukrainiennes réfugiées en Pologne.
Au cours de la première année qui a suivi sa fuite, elle a pris 25 kilos, ce qu’elle attribue au coût psychologique de la guerre.
« Nous nous sommes tous habitués au stress mais les ressources du corps ne sont pas illimitées », dit-elle à l’AFP à Varsovie, sa nouvelle ville d’adoption.[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/