Un café, une gaufre, et Sébastien Gaubert saute sur sa barque à 5h45 pour fendre la surface parfaitement lisse à l’aube de l’étang de l’Ayrolle à Gruissan (Aude), dont le fragile équilibre est menacé par une sécheresse persistante, et y relever les 50 hameçons calés la veille.
Dans l’air poisseux d’humidité et de sel, le pêcheur de 47 ans, dont quinze à pêcher sur cette lagune près de Narbonne, ne ramènera que trois loups, surnom local du bar. Un « minimum syndical » qui permettra de « sauver la journée ».[Lire l'article en intégralité]
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