Des femmes redoutant avoir été droguées à leur insu, des médecins craignant avoir mal diagnostiqué une soumission chimique: la plate-forme lancée récemment par les pouvoirs publics répond aux inquiétudes qu’a provoqué le procès Mazan.
Acteur clé dans la lutte contre la soumission chimique, le centre d’addicto-vigilance de Paris, qui prodiguait des conseils au téléphone, a lancé le 15 octobre le Centre de référence sur les agressions facilitées par les substances (Crafs).
Il informe et oriente les victimes, leur entourage, les témoins et les professionnels de santé.[Lire l'article en intégralité]
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