L’ombre du protoxyde d’azote au volant plane sur plusieurs accidents meurtriers ces derniers mois, dont celui qui a coûté la vie à Mathis en novembre à Lille. Un phénomène que les autorités peinent à endiguer sur les routes, faute d’outil de détection.
Le 1er novembre, Mathis, 19 ans, a été tué sur l’un des principaux boulevards lillois par un conducteur ayant consommé du protoxyde d’azote, qui tentait de fuir la police.[Lire l'article en intégralité]
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