Dans le salon d’un parfait inconnu à Marseille, Yann Klimenko donne un dernier coup de pinceau à sa toile avant d’achever sa séance d’art-thérapie. « C’est plus sympathique qu’un médicament », témoigne le quadragénaire atteint de schizophrénie qui y voit une alternative bienvenue aux soins institutionnels.
Autour de la table, il y a aussi Sasha* (prénom d’emprunt), 22 ans, pour qui participer à une activité artistique hors les murs d’une institution médicale « fait du bien ».[Lire l'article en intégralité]
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