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Une odeur d’hydrocarbures accueillait les délégués l’an dernier à la conférence climatique de l’ONU à Bakou. C’est la moiteur amazonienne que respireront à partir de lundi à Belem les 50.000 participants de la COP30, chargés d’empêcher l’effondrement de la coopération mondiale sur le climat.
Inflexible, le président Luiz Inacio Lula da Silva a maintenu l’événement ici malgré le manque d’hôtels.[Lire l'article en intégralité]
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