« Nous sommes saturés », lance le docteur Olivier Gacia, chef des urgences du CHU de Saint-Pierre, à La Réunion. Dans cet hôpital du sud de l’île, les soignants font face à un afflux massif de patients contaminés par le chikungunya, qui a déjà touché plus de 20.000 personnes depuis le début de l’année.
Alors que deux décès ont été confirmés sur l’île, Santé Publique France (SPF) a annoncé cette semaine que plusieurs autres étaient « en cours d’investigation » pour déterminer leur lien avec le virus, laissant craindre un bilan plus lourd alors que le pic de l’épidémie est attendu mi-avril.[Lire l'article en intégralité]
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