La Norvège, premier pays d’Europe à avoir décidé d’ouvrir une partie de ses eaux à d’éventuelles activités minières sous-marines, va encore repousser de quatre ans l’attribution de premières licences, au terme d’un accord politique conclu dans la nuit de mardi à mercredi.
Le gouvernement travailliste, minoritaire au Parlement, a accepté de ne « pas lancer le premier appel d’offres pour l’exploitation des minerais des fonds marins au cours de la présente législature » qui court jusqu’en 2029.
En 2024, le Parlement norvégien avait donné son feu vert à l’ouverture d’une partie des fonds sous-marins à la prospection minière, sur 280.000 km2, soit plus que la superficie totale du Royaume-Uni.[Lire l'article en intégralité]
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