Pendant que thermomètre frôle les 40 degrés dans la capitale italienne, un dessert glacé venu de l’antiquité fait de l’ombre aux glaces, sorbets et autres granitas : la « grattachecca », préparation traditionnelle à base de glace râpée au sirop.
Dans un kiosque style Belle époque présent depuis près de cent douze années sur les rives du Tibre, Massimo Crescenzi, 72 ans, prépare les commandes d’une file de clients qui ne cesse de s’allonger à mesure que le mercure grimpe.
En coulisse, sa femme Rosanna Mariani s’affaire à sortir de gros blocs de glace d’un congélateur, qu’elle explose à l’aide d’un pic en plus petits morceaux, avant de les râper dans une machine qu’elle presse manuellement.[Lire l'article en intégralité]
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