Loin des désaccords sur les énergies fossiles, un sujet parallèle vient compliquer les négociations à la COP30 de Belem au Brésil : la question du genre, objet de désaccords entre participants sur sa définition.
L’enjeu est l’adoption d’un plan d’action destiné à prendre en compte les différences de sexe dans le changement climatique. Mais plusieurs Etats, dont le Paraguay, l’Argentine, l’Iran, le Vatican, l’Indonésie et la Malaisie, cherchent à bloquer toute reconnaissance des personnes trans et non-binaires en ajoutant leurs propres définitions du sexe dans des notes de bas de page.[Lire l'article en intégralité]
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