A trois mois de la première conférence climatique de l’ONU en Amazonie (COP30), son président défend dans un entretien avec l’AFP le choix de Belem malgré une pénurie de logements abordables qui menace d’exclure les « peuples » que le Brésil veut inviter au cœur des débats.
André Correa do Lago a publié mardi sa cinquième lettre formelle aux dizaines de milliers de délégués et observateurs conviés à Belem, ville portuaire de 1,3 million d’habitants aux portes de l’Amazonie où le président Lula a choisi symboliquement d’organiser l’événement du 10 au 21 novembre.
Il écarte l’idée d’y négocier de nouveaux engagements majeurs et contraignants, actant de facto le reflux de l’ambition climatique dans plusieurs grands pays.[Lire l'article en intégralité]
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