Une adolescente avale de l’insecticide pour un « challenge » sur Tik Tok, un jeune convulse après avoir pris une nouvelle drogue appelée PTC pour « Pète ton crâne », une famille s’intoxique au monoxyde de carbone: le Centre antipoison de Paris « vit au rythme des intoxications ».
« Quand un truc se passe, ça finit toujours par appeler chez nous: on sait qu’on est un bon observatoire », affirme le Dr Jérôme Langrand, chef de la structure, à l’AFP.
Créé en 1959 et abrité dans l’hôpital Lariboisière-Fernand Widal (AP-HP), le centre antipoison de la capitale – neuf existent en France – répond aux urgences, en lien avec le Samu et les pompiers, en cas d’intoxication – accident domestique, industriel, pollution de l’environnement.[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/