Se tenant debout là où se dressait encore récemment sa maison familiale, Ruth Deidree Boelan ferme les yeux et prie pour ses proches disparus lors des inondations meurtrières qui ont balayé l’île touristique de Bali début septembre.
« Je suis encore sous le choc. Mon frère, mon père et ma mère ont été emportés par les eaux et la maison entière », située en bord de rivière, « a disparu », confie à l’AFP la femme de 28 ans, des sanglots dans la voix.[Lire l'article en intégralité]
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