Des centaines d’enfants qui, alertés par les cloches, courent pour se réfugier vers des points hauts: à Aceh, à quelques semaines du 20e anniversaire du tsunami meurtrier de 2004, la population répète un exercice pour anticiper et éviter le pire en cas de nouvelle catastrophe.
« Grâce aux exercices, nous pouvons prévenir plutôt que guérir », explique Rizky Firmansyah, 34 ans, responsable local du village situé tout près de la capitale provinciale Banda Aceh où plus de 60.000 personnes ont trouvé la mort en décembre 2004.
Après avoir dévalé les deux étages d’escaliers, les écoliers suivent sur la route des marques au sol, sous les cris des volontaires qui les appellent à « évacuer » les lieux.[Lire l'article en intégralité]
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