La Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) se prononce jeudi sur le recours formulé par 11 militants écologistes condamnés au pénal pour avoir décroché des portraits d’Emmanuel Macron, un dossier qui trouve une résonance particulière devant l’actuelle vague de chaleur.
« Nous sommes en pleine canicule, on ressent beaucoup plus les effets du dérèglement climatique qu’il y a quelques années. Donc le message de notre action est toujours valable, mais depuis il y a eu plusieurs années de procrastination du gouvernement, qui désormais recule sur le droit de l’environnement », estime Pauline Boyer, l’une des « décrocheuses » du réseau Action Non-Violente – COP21, qui revendique la désobéissance civile comme moyen d’action.[Lire l'article en intégralité]
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