Dans une petite rue de la banlieue d’Athènes, des ouvriers viennent d’installer une pompe à eau sur les parois d’un puits en pierre de l’époque romaine qui passe quasiment inaperçu entre les immeubles et les véhicules garés.
Dans une capitale grecque aux températures estivales caniculaires, l’eau recueillie sera utilisée dès l’été « pour nettoyer ou irriguer parcs et jardins », dit Katerina Apostolopoulou, responsable du projet de la société publique de distribution d’eau d’Athènes, Eydap et de la mairie de Chalandri.
Ce puits, de plus de 20m de profondeur, fait partie d’un réseau d’environ 300 puits de l’aqueduc d’Hadrien, achevé en 140 de notre ère, explique le géologue Yannis Dafnos en soulevant le lourd couvercle en fer.[Lire l'article en intégralité]
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