Un choix s’offre aux visiteurs de la COP30 à Belem en quête d’un bon café: un cappuccino sur le stand australien ou le puissant café turc sur le pavillon d’Ankara, symbole du bras de fer entre les deux pays pour organiser la prochaine conférence.
Au moment même où le Brésil tente de montrer au monde que la diplomatie climatique fonctionne encore, les deux pays sont sous pression pour se mettre d’accord afin d’éviter un scandale dans la ville amazonienne de Belem.
Sans retrait d’une des deux candidatures pour la COP31 de 2026 ou sans compromis, Australie et Turquie risquent de perdre la partie.[Lire l'article en intégralité]
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