Il y a quelques mois encore, l’aigle royal était incapable de voler, cloué au sol avec ses ailes coupées, probablement par des braconniers. Aujourd’hui, il s’élance dans un vol majestueux au-dessus d’un pic rocheux, dans un rare relâcher attendu avec impatience par des bénévoles tunisiens.
Une quarantaine de jeunes passionnés – vétérinaires, naturalistes, simples amateurs de nature – consacre son temps libre au programme « ResQ », lancé il y a deux ans par l’Association tunisienne de la vie sauvage (ATVS) pour secourir des animaux sauvages blessés, en soigner d’autres saisis chez des trafiquants et sensibiliser l’opinion publique.[Lire l'article en intégralité]
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