Devant l’entrée de sa maison délabrée, une petite fille se rafraîchit avec sa mère dans une grande bassine remplie d’eau. La chaleur humide est étouffante dans cette favela de Belem, ville d’Amazonie brésilienne qui accueille la COP30.
Non loin de là, Rosineide Santos, manucure de 56 ans, estime que « le climat a beaucoup changé » depuis son arrivée il y a une vingtaine d’années à Vila da Barca, quartier pauvre bâti sur des pilotis qui surmontent une eau saumâtre et charriant des monceaux d’ordures.[Lire l'article en intégralité]
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