Entre mauvaises pluies et barrages érigés en amont chez le voisin iranien, le barrage de Dukan dans le nord de l’Irak est vide aux trois quarts, synonyme de rationnement d’eau pour des millions d’habitants touchés par la sécheresse.
Près de l’immense lac artificiel aménagé dans les années 1950 pour servir de réservoir, la sécheresse se voit à l’oeil nu. Une terre craquelée apparaît là où, il y a un an encore, l’eau recouvrait tout.[Lire l'article en intégralité]
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