Pour lutter préventivement contre les moustiques vecteurs de virus, comme ceux de la dengue ou du chikungunya, les différentes techniques de lâchers de moustiques montrent jusqu’ici un degré d’efficacité variable, estime jeudi l’Anses, invitant aussi à surveiller d’éventuels effets non souhaités.
Dans la quête d’alternatives aux insecticides, des lâchers ont été testés à partir des années 2000 pour lutter contre les moustiques du genre Aedes, dont le moustique tigre, en diminuant leurs populations ou en réduisant leur capacité à transmettre certains virus.
La technique de l’insecte stérile consiste à lâcher des mâles rendus stériles par irradiation.[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/
