Des femmes massaï éclatent d’un rire amer lorsqu’un ancien de la communauté, drapé d’une couverture traditionnelle rouge, assure que les mutilations génitales féminines ont quasiment cessé au sein de leur communauté dans le sud du Kenya.
Elles savent que l’excision des jeunes filles, consistant à enlever le clitoris et les petites lèvres – et présentée comme un rite de passage -, reste une pratique profondément ancrée dans certains villages reculés du comté de Narok, pourtant à quelques heures à peine de la capitale Nairobi.
Dans ces zones sous-développées, très loin de toute route bitumée, environ 80% des filles sont encore concernées, se désole une infirmière.[Lire l'article en intégralité]
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