« Comme si on te demandait de monter l’Everest en courant contre les vents, en pleine neige »: Me Alex Ursulet résume le défi pour les parties civiles qui contestent lundi le non-lieu dans le scandale sanitaire du chlordécone devant la cour d’appel de Paris.
Cela fait presque 20 ans que la justice se penche sur ce dossier tentaculaire, du nom d’un pesticide répandu dans les bananeraies pour lutter contre le charançon jusqu’en 1993, alors qu’il était classé depuis 1979 comme agent possiblement cancérogène par le Centre international de recherche sur le cancer.
Dès 2006, de premières plaintes pour administration de substances nuisibles ou empoisonnement, contre l’Etat ou contre X, émanent d’associations guadeloupéennes et martiniquaises de producteurs agricoles, consommateurs, défenseurs de l’environnement ou encore protection de la santé.[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/
