L’agence Santé publique France a constaté mercredi « une baisse du nombre de cas importés de chikungunya en provenance de La Réunion et de l’Océan Indien » mais considère que le risque de voir apparaître de nouveaux cas autochtones dans l’Hexagone reste important.
Pour l’heure, douze foyers de transmission du chikungunya, dont le virus se transmet via des piqûres de moustique tigre et provoque de fortes fièvres ainsi que des douleurs musculaires ont été signalés, pour un total de trente huit cas autochtones, selon un bilan hebdomadaire de l’agence de santé publique.
« Malgré une baisse du nombre de cas importés de chikungunya, notamment en provenance de La Réunion et de l’Océan Indien, leur niveau contribue à l’apparition de transmissions autochtones dans l’Hexagone », souligne Santé publique France.[Lire l'article en intégralité]
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