Face à la hausse inédite des contaminations cet été en métropole par le chikungunya et dans une moindre mesure par la dengue, les autorités sanitaires ont appelé mercredi à rester vigilants car « la saison n’est pas terminée » pour les moustiques vecteurs de ces maladies.
Au 15 septembre, autour de 480 cas autochtones de chikungunya ont été identifiés en France métropolitaine, selon le bilan hebdomadaire de l’agence sanitaire, contre 382 la semaine précédente.
Si plusieurs épisodes sont désormais clos, l’été 2025 est d’une ampleur inédite en métropole pour les cas autochtones de chikungunya, dont le virus se transmet d’un humain à l’autre via des piqûres de moustiques tigres et provoque des fièvres et douleurs articulaires.[Lire l'article en intégralité]
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/
