Des débris s’entassent dans une cour d’immeuble, les plaques de plâtre et la laine de verre barrent l’entrée d’un escalier. Six semaines après le passage du cyclone Chido, l’heure à Mayotte est parfois encore au déblaiement plutôt qu’à la reconstruction, qui s’annonce longue.
Le toit de l’appartement le plus haut de cet immeuble de Petite-Terre a disparu et ses murs en bois se sont affaissés sous la puissance du vent.[Lire l'article en intégralité]
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