« Pour le quotidien du malade, il n’y a personne », dit à l’AFP Fabrice Rodenburger, épuisé par un an de « combat permanent » pour que son père, atteint d’un cancer du poumon fulgurant, soit diagnostiqué et accompagné, dénonçant des inégalités de prise en charge.
« Quand papa était en souffrance à la maison, qu’il vomissait et avait du mal à respirer, j’appelais le Samu à partir de 20 heures. En un an, j’ai dû téléphoner 5 ou 6 fois pour qu’un médecin vienne le voir le soir », se remémore-t-il.[Lire l'article en intégralité]
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