Vivre « dans l’ombre » par peur d’être arrêté pèse sur la santé mentale des migrants présents aux Etats-Unis et de leurs enfants, alors que Donald Trump a promis « la plus grande opération d’expulsions de masse de l’histoire ».
« Cela m’a rendu extrêmement anxieux », confie à l’AFP Alejandro Florez, un Vénézuélien de 26 ans arrivé dans le pays en 2016.
Depuis l’investiture du milliardaire républicain, « je dors trois ou quatre heures par nuit », affirme-t-il.[Lire l'article en intégralité]
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