Assises sur le matelas défraîchi où elles officient dans une bicoque des faubourgs de Harare, trois prostituées zimbabwéennes racontent les préservatifs devenus parfois introuvables et le tarissement des traitements contre le VIH depuis les coupes dans les aides américaines.
Ces travailleuses du sexe disent se sentir encore plus vulnérables depuis que le président américain Donald Trump a mis fin à de nombreux financements de programmes de santé par le gouvernement des États-Unis.
L’une d’elles, Sharon Mukakanhanga, plonge la main dans son sac et en ressort une chaussette pour bébé qui fut un moment sa seule protection, aussi précaire que relative.[Lire l'article en intégralité]
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