Au coeur des sables du Karakoum au Turkménistan, de timides langues de feu lèchent les parois des « portes de l’Enfer ». Après un demi-siècle de combustion, le cratère de Darvaza qui rejette du méthane, gaz accélérant le réchauffement climatique, doit enfin être éteint.
« Nous avons décidé de venir ici avec mon mari après avoir vu des photos impressionnantes des flammes de Darvaza sur Internet », raconte à l’AFP Irina, touriste originaire d’Achkhabad, capitale de ce pays reclus.[Lire l'article en intégralité]
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